le 5 mai 2022
“Work in Progress – Et si on travaillait autrement ?” La BD qui donne des clés aux jeunes pour trouver un mode de travail qui leur corresponde

La bande dessinée “Work in Progress – Et si on travaillait autrement ?” paraît aujourd’hui aux éditions Eyrolles. Co-écrite par Sophie Streichenberger et Samuel Durand – l’auteur du documentaire “Work in Progress” sorti en 2021 -, elle évoque les nouveaux modes de travail. L’ouvrage de 130 pages raconte les tribulations d’une jeune diplômée en plein questionnement sur son avenir professionnel. Qui signe la préface ? Le Groupe Randstad France, partenaire exclusif du projet éditorial.

 

 

 

Le pitch

Tout juste diplômée d’une école de commerce, une jeune femme prénommée Sam se demande quelle voie professionnelle choisir à l’heure où ses amis ont tous décroché un CDI. Plutôt que de signer comme eux dans une entreprise où elle craint de ne pouvoir s’épanouir, elle part à l’aventure. “À la rencontre de personnes inspirantes vivant en dehors des cadres traditionnels, aimant profondément leur travail pour un tas de raisons variées, inventant de nouveaux modèles en cohérence avec leurs valeurs…” Un voyage initiatique pour explorer de nouvelles façons de travailler – salariat basé sur la confiance, nomadisme, freelancing, entrepreneuriat, etc. Savant dosage entre fiction et réalité, cette BD ludique a une vocation pédagogique : accompagner les jeunes de 15 à 25 ans hors des sentiers battus, afin de leur révéler tout leur potentiel professionnel.

Le message de Samuel Durand ? “À toutes celles et ceux qui n’ont aucune idée du travail qu’ils ont envie de faire, voici quelques clés pour trouver l’environnement qui vous correspond le mieux ou le créer. Éclatez-vous !”

Les auteurs

  • Samuel Durand

A 25 ans, ce diplômé d’une école de commerce a déjà produit deux documentaires sur les révolutions qui traversent le monde du travail. Deux fois par mois, il publie la newsletter le Billet du Futur. Lui qui n’a jamais été salarié s’intéresse à l’épanouissement au travail, au sein de l’entreprise ou en dehors.

  • Sophie Streichenberger

Diplômée de l’Edhec Business School, installée à New York, la jeune femme jongle entre salariat et bande dessinée, passion qu’elle n’a jamais abandonnée.

 

Un partenaire exclusif

Groupe Randstad France
Leader mondial des services en ressources humaines, le Groupe Randstad aide tous les talents à trouver leur chemin, même le plus insoupçonné. En préface de l’ouvrage, il donne à voir une mini-BD. L’histoire  vraie – de Laurine, dont le rêve – devenir coiffeuse – se brise à cause d’allergènes présents dans les produits capillaires. Une cliente de son salon ayant évoqué l’intérim avec enthousiasme, la jeune femme se rend dans une agence Randstad. Elle y rencontre Maria, qui l’oriente vers l’industrie. Esprit d’équipe, faculté à assimiler de nouveaux apprentissages au quotidien, aptitude au travail manuel… Les qualités de l’ex-coiffeuse sont autant de passerelles vers ce secteur d’activité en pleine croissance auquel elle n’aurait jamais pensé, source d’épanouissement pour elle aujourd’hui.

“Au-delà des idées reçues des employeurs et des jeunes candidats, notre groupe agit comme un GPS des parcours professionnels. Nous apportons des solutions sur-mesure aux entreprises qui peinent à recruter et nous nous efforçons d’orienter les jeunes vers des activités correspondant à leurs aspirations et à leur personnalité ”, indique Frank Ribuot, président du Groupe Randstad France.

Sans concession, le rapport des jeunes au travail

Vivre une expérience professionnelle épanouissante constitue une priorité pour les générations Z (18-24 ans) et Y (25-34 ans), selon l’étude Workmonitor conduite dans 34 pays pour Randstad et publiée en avril 2022.
Ils ont répondu OUI à cette affirmation
“Je préfèrerais être au chômage plutôt que malheureux dans mon travail »
18–24 ans : 40 %
25-34 ans : 28 %
35–44 ans : 36 %
45–54 ans : 28 %
55–67 ans : 25 %
Au sujet de la protection de l’environnement et du développement durable, l’étude a mis au jour un fossé générationnel : 50 % des moins de 35 ans refuseraient de rejoindre un employeur qui serait inactif sur cette thématique, contre 30 % pour la tranche d’âge 55-67 ans.